Le but est de représenter de manière simple le fait que l'océan superficiel
et la végétation absorbent une partie des émissions de :
on estime par exemple qu'actuellement, 35% des émissions anthropiques
actuelles sont absorbées par la végétation et 20% par les océans
(). Ceci joue surtout aux petites échelles de temps. Dans le modèle,
on multiplie les flux de
par
,
avec
=35% et
=20% ([Friedlingstein et al., 2007,IPCC, 2013]).